| | | CHASE ___ A history of violence |  |
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+3Yorick Williams Lisha Kasey Chase Strickland 7 participants | | Auteur | Message |
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Chase Strickland
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| | Sujet: CHASE ___ A history of violence Sam 15 Aoû - 16:02 | |
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CAMP : Faites bref, il vous sera possible de développer plus tard.
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| | | | Chase Strickland
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| | Sujet: Re: CHASE ___ A history of violence Sam 15 Aoû - 16:04 | |
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Avant l'Apocalypse :
Dernière édition par Chase Strickland le Mar 18 Aoû - 12:28, édité 1 fois | |
| | | | Chase Strickland
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| | Sujet: Re: CHASE ___ A history of violence Sam 15 Aoû - 16:04 | |
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| | | | Chase Strickland
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| | Sujet: Re: CHASE ___ A history of violence Sam 15 Aoû - 16:09 | |
| Avatar : James Franco
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Comment avez-vous connu le forum ? Par hasard. J'errai sur le net, un lendemain de cuite, et j'me suis retrouver ici. 
Commentaire ? J'aime le design', le contexte, les PV's et les bounty.
Exemple de RP - Spoiler:
Une bête de foire, voila ce que je semblais être. J’entendais à peine la clameur exaltante de la foule, avide de violence, criarde et méprisante. Je sondais avec indifférence le visage de l’adversaire, faisant abstraction totale des charognards nous encerclant. Je n’avais qu’une idée en tête : mon combat. Mon opposant, lui, grand chauve aux muscles saillants, levait les bras en l’air et s’agitait sur le ring improvisé, dans l’espoir de récolter les faveurs du publique. Ce crétin semblait fier d’être ici. En cet instant, l’envie d’extérioriser ma haine sur le flambeur me paraissait alors d’autant plus évidente. Je ne me battais pas pour la consécration, mais tout simplement parce que je ne savais faire que ça, et rien d‘autre. C’était assez ironique d’imaginer que je gagnais ma vie en détruisant celle des autres. Mais peu m’importais. Si mes adversaires étaient là, ça ne pouvait être parce qu’ils l’avaient choisis, tout comme moi. Enfin …
Une atmosphère accablante s’était emparée de la salle. Comme toujours. J’avais l’impression de vivre un moment immuable, ressenti lors des premières secondes précédant l’affrontement. Mon cœur s’écrasait vigoureusement contre ma poitrine, tandis que ma gorge se serrait avec vivacité. Une pointe d’appréhension, peut-être, qui s’estompait bien vite au premier coup donné. Une fois celui-ci lancé, mes songes s’envolèrent au fil du combat. Mon antagoniste semblait être relativement de taille, ce soir là. Une pagaille de coups échangés creusèrent de premiers hématomes, d’un côté comme de l’autre. Manque de chance pour lui, encaisser était devenu pour moi une formalité. Je commençais à prendre le dessus. Aussi bien physiquement, que psychologiquement. Mes attaques, puissantes et précises, semblaient déjà annoncer le dénouement tant attendu. Je sentais sa mâchoire céder encore un peu plus aux pressions de mes mains, tâchés de sang. Déstabilisé, je profitais de son déséquilibre soudain pour lui saisir la tête, et ainsi projeter prestement mon genoux au contact de son menton, laissant une projection sordide de dents et de salive s’envoler dans les airs.
A terre, désarçonné, le visage imbibé de liquide rougeâtre, il en était fini du malheureux combattant. Le publique scandait mon nom avec rage, brandissant tous à l’unisson le pouce vers le sol. Je me sentais tel un gladiateur agissant sous les ordres du peuple. Si il voulait le voir mourir, alors, je ne pouvais faire autrement que de satisfaire leur macabre désir. Une âme de plus, ou de moins, n’avait pas d’importance à Neilbourg …
J’aimais cette lénifiante solitude qui succédait la folie du spectacle. Seul, dans un vestiaire certes miteux, mais à l’abri des gueulards déchaînés. La vue de l’homme croulant sous mes coups n’était déjà plus qu’un frêle souvenir. Désormais, je pensais aux thunes que j’allais bien pouvoir amasser. Un bref coup d’œil dans la glace me permit de constater l’ampleur des dégâts. J’avais déjà connu pire. Seul mon arcade avait décidemment bien morflé. D’elle affluait un flot de sang conséquent, se propageant sur toute la moitié droite de mon visage. Rien de bien méchant, en somme. La plaie cicatrisa en quelques semaines, tout au plus …
SCARLETT ; « Tu es pitoyable ! »
SOLAL ; « … Pardon ? » Fis-je, surpris, tout en relevant mollement la tête vers le haut.
En dépit du sang diminuant mon acuité visuelle, j’avisais d’un air perplexe la détentrice de ces provocations. Les bras croisés, elle m’observait. Il n’était pas difficile de lire la pointe d’aigreur animant ses prunelles, probablement dégoûté par le personnage que j’étais. Peu importe. Qui était-elle pour se permettre de me juger ainsi ? … Comme pour révéler mon indifférence à l’égard de ses propos, j’esquissais un fin sourire acerbe, avant qu’elle ne rétorque.
SCARLETT ; « Tu ne devrais pas te laisser faire ! Regarde dans quel état tu es … »
SOLAL ; « Qu’est-ce que ça peux bien te foutre ? J’ai pas besoin de ta compassion, gamine … »
J’envisageais le fait que cette réplique puisse rompre le dialogue, une bonne fois pour toute. Mais, non, la jolie blonde persista, et vînt même s’improviser infirmière l’espace d’un instant. Hormis mes payeurs, c’était la première fois que quelqu’un venait me voir après un combat …
SCARLETT ; « J’espère te recroiser dans de meilleures conditions ! »
Sans que je ne sache véritablement pourquoi, le sourire qu’elle m’adressa immobilisa précipitamment le tumulte de mon cœur. A croire que je n’étais pas vraiment habitué à ce genre d’attention. Sans un mot de plus, elle s’en alla dans les profondeurs obscures du couloir, disparaissant aussi furtivement qu’elle ne fut arrivée …
Deux ans plus tard …
Rien n’avait changé. En deux ans, cette ville était restée la même. Toujours les mêmes problèmes, toujours la même merde. Toujours autant d’embrouilles dans les rues, toujours autant de gosses retrouvés morts les veines imbibés de came, toujours autant de flingues qui circulent, toujours autant de corruption, de ripoux et d’argent sale, toujours autant de cris, toujours autant de sang, et toujours autant de larmes. Rien n’avait changé, et moi non plus. J’étais toujours le même. Toujours ce haineux avide d’extériorisé sa rage à la première occasion venue, plus sombre et plus insaisissable qu’auparavant. Un allumé de plus, au royaume des allumés.
Une ravissante soirée. Ravissante de par son climat gracile et confortable, teinté d’un léger souffle d’air. L’ambiance, elle, était comme d’habitude. Sordide et pesante. Engouffré au sein de mon épais veston de cuir, je marchais d’un pas nonchalant dans les rues étroites de la ville, le visage placide. J’arpentais la direction de mon appart’ miteux, après une journée qui s’était avérée plutôt paisible. Deux camés dessoudés, et quelques pots-de-vin de distribuer. Une journée banale, au final … La clope au bec, j’expirais de mon nez une fumée insipide, clôturant les paupières, et laissant le vent venir mollement adoucir mon visage terne. Un sentiment de solitude qui s’interrompu net au son d’une voix, non méconnue …
SCARLETT ; « Ce n’est pas vraiment ce que j’appel de meilleures conditions ! »
SOLAL ; « Ca tu l’as dis … » Murmure-je, presque pour moi-même.
Scarlett Lawrence. La fille du patron, sa petite protégée, son bien le plus précieux. La jeune blonde était en quelque sorte le cœur de la famille Lawrence. Si elle venait à s’éteindre, ce serait la mafia toute entière qui succomberait. Je ne lui avais lâché mots depuis deux longues années, depuis notre première rencontre, à l’arène. Bien que je fus totalement antipathique ce jour là, je ne pouvais caché qu’elle m’intriguais, autant que sa curiosité, visiblement naturelle, m’agaçais … Je sentais que son regard m’éludait, mais, je n’y prêtais nulle attention. Mes yeux livides sondèrent la rue macabre qui s’édifiait à nous, et tout particulièrement les quelques jeunes y zonant. De petits branleurs, à première vue. De ma légendaire froideur, je jetais un bref coup d’œil vers l’harmonieux visage de Scarlett, avant de reprendre, impassible …
SOLAL ; « Tu ne t’es jamais demander si cette ville était vraiment faîtes pour toi ? … Tu ne devrais pas rester là, j’ai pas envie d’avoir de problèmes … » Dis-je, un fin rictus aux lèvres. Arrogant et méprisable, tels étaient les deux mots qui décrivaient le mieux mon attitude …
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| | | | Lisha Kasey
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| | Sujet: Re: CHASE ___ A history of violence Sam 15 Aoû - 16:44 | |
| UN HOMME  pardon on en voit tellement peu sur les RP   Je te réserve Chase  Et bienvenue Léo  | |
| | | | Yorick Williams
ORDINARY MESS ♠ just scattered pieces of who I am
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| | | | | Deena Faulkner
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| | Sujet: Re: CHASE ___ A history of violence Sam 15 Aoû - 19:00 | |
| HOURRAH UN CHASE | |
| | | | Jasmin Kensington
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Song : The Beach Boys » I Can Hear Music.
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| | Sujet: Re: CHASE ___ A history of violence Sam 15 Aoû - 19:04 | |
|  Le forum t'a fait débourrer ? Welcome charmant jeune homme | |
| | | | Melvin D. White
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Citation : " Introduire une goutte d'Anarchie, Déranger l'Ordre établit.. Et tout devient brutalement Chaotique. " joker
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| | Sujet: Re: CHASE ___ A history of violence Sam 15 Aoû - 22:12 | |
| Un Homme  Enfinnnn Ennnnnnfinnn :woo: :woo: :woo: J'ai cru pendant quelques temps que les mâles avaient désertés mais nous revenons en force !  Je dirait juste que James Franco et The Servant >>  :dieu: | |
| | | | Jehiel Kasey
LILADMIN • Losing what was found, a world so hollow. Suspended in a compromise
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| | Sujet: Re: CHASE ___ A history of violence Dim 16 Aoû - 10:51 | |
| BRAH JAMES  Je serais capable de passer des heures à adminer l'avatar, mais je vais essayer de me contenir Bienvenue ici, et puis The Servant, quel bon goût :dieu: | |
| | | | Chase Strickland
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Pseudo : Léo
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| | Sujet: Re: CHASE ___ A history of violence Dim 16 Aoû - 12:52 | |
| Les hommes sont rares sur les forums, mais ça n'est pas pour me déplaire.  Merci à tous de cet accueil qui réchauffe mon p'tit coeur. Pour résumer je dirai vive The servant, vive Fiction plane, vive James Franco, ( Vive Amber Heard, mais ça c'est personnel. ), vive Heath Legder, vive le forum, vive vous, et vive moi. :dance: | |
| | | | Deena Faulkner
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Citation : OSCAR WILDE • « We are each our own devil, and we make this world our hell »
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| | Sujet: Re: CHASE ___ A history of violence | |
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