| | Andréa A. Harper - Et la souffrance exaltera les sens. | |
| | Auteur | Message |
---|
Andréa A. Harper
Messages : 3 Song : Silent Hill Soundtrack Promise.
YOUR ROAD RACE: Demon CAMP: REVENGE. RELATIONS:
| Sujet: Andréa A. Harper - Et la souffrance exaltera les sens. Sam 29 Aoû - 18:53 | |
| " L'amour et la haine sont des sentiments qui s'alimentent par eux-mêmes, mais des deux la haine a la vie plus longue. " Balzac. | •• NOM : Harper. Un nom empreinté, qui le laisse circuler en toute discrétion dans ce délicieux monde hurlant. •• PRENOM(S) : Andréa Aimée. Andréa est le prénom du jeune homme dont il a pris possession. Aimée, c'est le pseudonyme sous lequel il est connu dans l'autre monde. Ange déchu par la main de Dieu, ce bellâtre ne désire jamais oublier, dans l'unique dessein de se venger. •• AGE : En apparence, on ne lui donne pas plus de 25 années. En réalité, il ignore absolument son âge. Mort à 21 ans, il devint un ange au service du Créateur. Puis damné, il parcouru l'enfer jusqu'à pouvoir renaître sur cette Terre d'exile. •• LIEU DE NAISSANCE : Inconnu. Il n'a gardé aucun souvenir de sa vie humaine, car rongé par la haine et la colère. •• STATUT : •• CAMP : Faites bref, il vous sera possible de développer plus tard.
|
•• Save Yourself From Fading Away
Rôle : Expérience / Maitrise : Réaction face à l'Apocalypse :
•• Damned & Divine
Cinq choses à savoir à propos de votre personnage. Nous vous demandons au minimum 5 lignes par paragraphe, et non pas un simple énoncé de qualificatifs. Vous avez parfaitement le droit d'en rajouter si vous souhaiter développer un peu plus ses caractéristiques ou son caractère. - - - - -
•• Final Destination
Avatar : Josh Beech Pseudo : BABINE Comment avez-vous connu le forum ? Sautant de nuage en nuage, je surprenais une discution fort aléchante. Le Saint père me découvrant en pleine soumission à ce défaut qu'est la curiosité, il m'obligeait de sa voix de tueur, à m'inscrire sur ce forum pour y mettre un peu de folie et de terreur. Sans plus attendre, je baissais mon crâne et sans les mains, préparais mon douloureux atterrissage. *SBAFF* Commentaire ? Exemple de RP - Spoiler:
Sans savoir comment, ni pour quelle raison, Zadig avait fini par s’effondrer. Ses jambes traitresses n’avaient eu la force de le soutenir plus longtemps. Les yeux n’ayant quitté cet être détesté, il n’avait même pas eu le temps de réalisé qu’il avait encore une fois chuté. C’était trop dure, c’était trop tôt. Et puis aussi trop tard. Pourtant le moment présent, il n’avait fait qu’y penser pendant près d’une éternité. C’était long, et peut être un peu court. Il ne savait plus rien, son crâne lui faisait mal. Son corps tout entier semblait transpercé tel un condamné fusillé, face au mur de l’abandon et de la certitude. Il avait fui, toujours il s’était échappé, parce que tout ceci l’insupportait. Serrant la mâchoire pour ne pas gémir, serrant les poings pour ne pas agir. Il devait écouter, il ne pouvait plus se détacher. Les genoux dans la terre, les épaules tombantes, était-ce bien l’arrogant haineux d’auparavant ? Son visage n’exprime plus rien alors que doucement l’inconcevable remonte aux travers les paroles de son interlocuteur. La voix apaisant sa rage, la symphonie oubliée reprend lentement, comme avant. Elle fait tourner ses notes et claque ses sons dans l’esprit désespéré de l’ingénu. Aux bords de la falaise, le climat ne lui est plus favorable. Il semble ne souhaiter que le pousser, toujours un peu plus, dans sa démence parfaite. L’imbécile destin, si tel était son désir, il n’aurait jamais dû laisser la parole au jeune homme face à ses yeux. Il aurait dû lui arracher ce visage, et n’en laisser qu’un désastreux monstre. Parce qu'ainsi, ses bras meurtriers n'avaient plus la moindre force. Sa gorge se sert, à n’en plus pouvoir respirer. C’est terrifiant et puis enivrant. Aimer est un étrange concept, Phoenix venait de le lui prouver. L’incompréhension peut dorénavant se lire dans ses traits, Zadig ne suit plus, il est perdu. Le destin voulait t’il faire de ce dégénéré l’un des martyrs les plus pitoyables que la terre ait connu ? Refoulant violemment les sentiments qui le traversent, la rage se mélange terriblement à la tristesse. Celle-là même qui le consume depuis le début de cette débauche insensée. Voilà que sa dépendance vient s’abattre à son côté. Comme un oiseau touché par l’immonde chasseur. Serein, il parait accueillir sa prochaine mort. Délicieuse, souhaitée, le tatoué désiré s’allonge là. Juste assez proche pour que les yeux de Zadig perçoivent les moindres détails tant connus et réprimés de sa mémoire malade. Punition que le créateur veut lui infliger ou juste diabolique amusement de l’ignoble mère nature. La bataille a rapidement commencé, puis elle s’est éteinte. Mais encore, les cendres des canons brûlent la peau du beau brun. Détournant son visage vers l’horizon, le vent gifle sa figure d’enfant. Il ne faut pas regarder, il ne faut plus se tenter. Peine perdue d’avance, le corps de son vice inonde la moindre de ses perceptions et de ses pensées. Comment l'existence a-t-elle réussi l'exploit de les faire se rejoindre ? Pourquoi a-t-il eu la stupidité de se damner. Un sur deux, c’était assez. Balançant en arrière, il s’assoit sur le sol humide, et pose ses bras sur les genoux sales. En apparence, peut être, il est paisible. Mais en son plus profond intérieur, le tout fulmine. Le visage dure et silencieux. L’amère impression de se noyer en eaux troubles le submerge. En manque d’oxygène, en manque de réponses. Il se débat mais n’arrive pas à atteindre les rayons du soleil. Ca ne sera jamais limpide, parce qu’il s’en empêche incompréhensiblement. C’est plus fort que sa propre volonté, que sa raison ou quoique ce soit d’autre. -« Il m‘a suffit de te fuir, par deux fois, pour attirer son intérêt. L’une a coûté la vie de mon frère. La seconde, se fut la mienne qu‘on faisait disparaître. » Il avait donc encore lâché les infectes paroles en guise d‘explications. Le souvenir de ces épisodes le font tressaillir, le corps de son double devant les yeux, les sirènes d’ambulances rugissantes. Il sursaute presque imperceptiblement, revivant la scène, qu‘il s‘était obligé à ne jamais plus regarder. Ca avait été trop brutal, il avait agis sans réfléchir, par pur égoïsme. Fermant les yeux et passant ses mains devant. Il veut définitivement masquer la réalité et sombrer dans son monde intouchable. Tout est faux, il le sait. Il regrette. Jamais il n’aurait dû s’éclipser. Il avait réussi à détruire tous ceux qui tenaient à lui. Et ce, en moins de temps qu’on ne pouvait le concevoir. L’une des capacités où le bellâtre exerce en maître, d’après ce qu’il a compris. Les gouttes de pluie irisent sa peau sensible, déchirée. La souffrance est intenable, elle lacère ses entrailles. « Je suis… Tellement désolé » Sa voix se brise comme un vase que l’on explose sur le sol, en rage. Il pleur, recourbé en avant, les mains cachant ses larmes. Elles balayent son visage, pour la première fois depuis sa propre mort. Sa poitrine est prise de spasmes irrépressibles. « Pourquoi avoir suivi ma connerie Phoenix ? Un sur les deux qui se flingue, s’était pas assez pour toi ? » Essayant de reprendre le contrôle, en vain. « J’espérai ne jamais plus te revoir. J’espérai juste… Pouvoir m‘effacer de toutes les vies que j‘avais en partie dévasté. » Les sanglots se font plus forts, il gémit de douleur et d’impuissance. De fureur, de colère. Contre lui et la terre entière. « Je pensais. Je pensais qu’après ça tout serait terminé. Mais je n’ai pas réussi. Tout… A encore foiré… » Se balançant d’avant en arrière pour tenter de restreindre sa crise, de dompter son malaise. Il a dépassé les limites qu’il s’était fixées, Phoenix a fait dégager les barrières que son esprit avait érigé. Sa voix est agitée, et ses yeux à nouveau boursoufflés. Cette sensation le libère et puis l’enchaine. Il n’en peut plus, on lui arrache les tripes, on lui ouvre le torse pour en extirper le cœur. Véritable boucherie irréelle pour un corps instable et hurlant.
Dernière édition par Andréa A. Harper le Sam 5 Sep - 16:40, édité 7 fois | |
| | | Andréa A. Harper
Messages : 3 Song : Silent Hill Soundtrack Promise.
YOUR ROAD RACE: Demon CAMP: REVENGE. RELATIONS:
| Sujet: Re: Andréa A. Harper - Et la souffrance exaltera les sens. Sam 29 Aoû - 18:53 | |
| •• Memories "La manipulation des corps est tout aussi ardue que celle des âmes. L’humain est un spécimen exceptionnel, qui pense savoir bien plus que sa débile nature ne lui laisse croire. J’aime à songer qu’un jour, chacun de nous dévoilera sa profonde démence. Et ce sera dans un bain de sang, que le monde détestable s’évanouira. "Introduction. La vie est trop courte, cela, je l’ai compris bien assez tôt. Cette chienne d’existence nous agrippe, nous détruit. Elle nous garde jalousement tels de pauvres damnés, entre ses chaines imaginaires. Personne en ce bas monde, ne peut se targuer de savoir défaire les nœuds dont elle est l’impérieuse souveraine. Quiconque tenterait d’expérimenter une quelconque excentricité, serait aussitôt radié de notre univers, pour ne pas faire office de trouble fête. Mais qui à dit que nous n’en demandions pas, ce genre de moeurs ne nous attirent donc plus grandement ? Nous ne sommes que de diaboliques chimères, enfants de démons. En toute vérité, il semble que le destin craigne que nous prenions le pouvoir, et qu’il ne se retrouve comme un enfant sans mère, errant à l’aveugle entre de vagues discussions d’un temps lointain. J’ai décidé de me lever contre cette amère idylle. Je hais le monde, je hais l’homme dans toute sa splendeur. Irascible vermine, qu’il me semble bon de faire souffrir avant d’en éradiquer la moindre parcelle de chaires. Cruel, je le suis peut être. M’enfin, votre regard ne m’importe que trop peu. Je me joue de vous autant que je me joue de ce fonctionnement insensé, dont nous suivons les règles sans même chercher à en comprendre les racines véritables. N’êtes-vous donc que les moutons qui parcourent la vaste plaine, restant inlassablement membre d'un troupeau ? Dans ce cas. Si je saute de la falaise, suivez-moi dans l’abime des enfers. Le ventre de Satan gronde, il a fin d’âmes nouvelles. Allongé de tout son long sur un lit d’hôtel crasseux, Andréa ferme ses yeux d'un bleu transparant. A moitié nu, sa peau n'est qu'un parchemin aux formes et dessins étranges. Il ne cesse de se délecter de l’instant présent. Une cigarette fumante entre les lèvres, un sourire diabolique se dessine au coin de sa bouche. Le bel adonis prend plaisir à se jouer des travers toujours plus excentriques que lui offre l’existence. Parce qu’au fond, c’est un fou, un dégénéré adepte des pratiques extrêmes. Et puis aussi un rêveur, qui ne cesse de vouloir plonger dans l’effectif éphémère. Souffrance permanente, douleur insupportable. Son corps se meurt, il ne veut qu’éclater, se déchirer, dans l’atmosphère délicate. Et ce, pour finalement s’évanouir à jamais dans les limbes chaotiques. Soufflant la brume mortelle entre ses dents désireuses de viandes fraîches, celle-ci se met à tournoyer, elle bouge et s’échappe comme une danseuse aux voiles mystérieux. Perdant toute notion du temps, les minutes passent. Les secondes se font heures, éternités. Une femme sort enfin de la salle de bain lui faisant face. Elle rompt immédiatement le silence divin et effrayant. Se redressant sur ses coudes et observant la vénus. Parfaite, sublime. Une nymphe fascinante pour cette soirée pervertie. Qui elle est, il n’en sait rien. Il ne connait pas son nom, pas son âge. Il ne connait que ses lèvres, sa langue et le gout de sa chaire. Sa voix douce et grave raisonne dans la pièce. Il lui intime de se joindre à la valse insensible de son être. Pourquoi ? C’est une évidence, l’ingénu veut se perdre, disparaître le plus vite possible de cet instant exécré. Tant de contradictions bouillent dans son crâne. Tant d’incompréhensions s’éveillent dans son esprit. S’en est trop, il lui faut sauter dans l’inconcevable, l’immatériel, le fantasme. Comme une drogue s’insinuant nerveusement dans ses veines, l’exaltation de ses sens par n’importe quel moyen est nécessaire à ce monstre incompris et impulsif. La vie est à ce qu‘il paraît alléchante et la mort doublement plus fascinante. Pour l’entre deux, c’est diffèrent. Âme perdue dans un tourbillon délicieux de sournois passes temps. Esprit vagabond, dangereusement dégénérescent et impatient. Il me semble avoir chaud. Pourtant je suis froid. J’ai peur de la folie furieuse, mais sa violence me ravie. Frappe mon être, détruit mon corps. Je n’en suis que plus détestablement amoureux. Exploser ceux qui m’entourent, éclater relations et liens quelconques. Je dois être malade. Ou bien trop sain d’esprit. Est-ce donc si agaçant, de ne jamais pouvoir prévenir le prochain pas que j’effectuerai ? Suivre le chemin du néant, s’amuser des travers de l‘homme. Il n’y a rien de plus simple. J’observe et suis triste. J’agis et critique. Je pleurs et puis j’éclate de rire. Quelle est donc cette infamie ? Souris moi chéri, condamne moi ensuite. Je suis un jouet, aux ordres d’imbéciles. Le masque tombe, un autre apparaît. Le jeu avance, les injures surviennent, et finalement les plaintes s’invitent. Le chaos m’agrippe, le chagrin m’accable. La rage m’envahie et la détresse me fait perdre toute logique. Je crame mon existence par les deux bouts. Et je n’en vois jamais la fin. Je ne connais pas la demie mesure, d'après moi ici, tout ne peut qu'être excès et décandence. La vie ne veut pas de moi, la mort me supplie de la rejoindre. Je ne veux que voir l’angoisse s’enfuir, et à la fois me demeurer maîtresse incomprise. Je ne devrais plus être en état de bouger. Je devrais être six pieds sous terre, rongé par d’immondes verres. Mais le seigneur des damnés est un salopard, qui souhaitait recevoir la récompense que je lui avais promis. Et il semble que ce n’est pas près de finir, son jeu ne fait que commencer. Je veux tout, et puis rien. Je veux être l’étoile, mais une fois l’acte accompli, il ne me reste plus qu’à disparaitre dans l’ombre monstrueuse. Je ne comprends pas. Parce que tout m’est trop clair. Ingénu perverti à la chaire pourrissante, mais étrangement désirée. On m’aime ou bien on me déteste. Pour ma part, c’est indéfectiblement plus simple. Je hais. La belle Aphrodite s’approche. Elle sourit, il s’énerve. La vision de ce soudain bonheur l’insupporte, l’horripile. Qu’elle s’abaisse, qu’elle fonde en larmes, qu’elle hurle. Tout sauf une quelconque joie qu’il ne peut plus percevoir sans sentir la flamme de Satan s’allumer en lui. Ses entrailles se serrent, une boule accable sa gorge. Se levant d’un mouvement vif et nerveux. Elle n’a que le temps d’attraper son bras. Baissant la tête, son visage se fige. Ose t’elle pareille insolence ? Vraiment. -«Lâche moi petite garce. » Elle ne dit rien, les yeux écarquillés, elle ne parait pas comprendre qu’elle spécimen vient d’apparaitre sous ses yeux tellement ignorants et innocents. Cassant l’étreinte avec dédain. Il se lève et s’immobilise devant la fenêtre. La ville est vivante à cette heure tardive. Les sirènes de police raisonnent, les cries d’une dispute s’exaltent dans l’air lourd de la nuit. Une légère torsion sur ses lèvres énamourées, voilà, c’est ce qu’il cherchait. Plus calme, reposé. Andréa peut reprendre la danse funèbre. La porte de la salle de bain s’ouvre à nouveau. La jolie demoiselle fait une triste mine. L’autre, il ne sourit plus. Un nouvel arrivé ? Peut être, je ne me souviens plus. Les regards se portent sur l’odieux monstre, moi. Levant les yeux au ciel, souriant à pleine dents et faisant aller mes mains en guise de prières. Ils me pardonneront. Je leur donne bien plus qu’ils n’auront jamais. Mon don. Don de mon corps, don de Lucifer et puis du Saint père. Me perdre, encore et encore. Jamais ne véritablement faire d’efforts. Je cherche, mais je ne trouve pas. A bout de moi, à court de tout. Je vais les faire s’abandonner entre mes bras. Je vais les faire mourir entre mes doigts. Leur âmes sont miennes. Mais pas tout de suite. D’abord, les sanglots devront s’immiscer dans mes oreilles. Parce que sinon, ce n’est pas amusant. Je lutte, j’espère que ce manège servira à gagner ma place pour l’éden. Je supplie le monde de ne pas y amener d’autre diable. Ma personne y suffira largement. J’avance, mon organisme se tord. Voilà, ça recommence. Violence et passion se mêlent. Que le créateur pardonne mes gestes. Voici la chanson morbide de la démence. Ça se chante ou ça se danse. Ça se valse, en se frappant la tête contre les murs. Avant l'Apocalyspe.Mon humanité m‘a été arraché. Je pensais l’avoir retrouvé aux travers ses yeux. Je me suis trompé, car j’y ai finalement tout perdu. - « Protège, aime, et ne juge pas. Maintenant va. » Les mots raisonnent encore dans sa tête de jeune impertinent. Un ange, c’est-ce qu’il est, sans vraiment encore le ressentir. On ne lui a pas demandé son avis, il doit suivre les ordres. Vous savez, les indications tellement nobles de cette voix délicieuse et envoutante. Tel un pantin stupide, plus rien ne semble compter à part la rendre fière et paisible. Sa mort ? Rien de bien concret en toute vérité. Des cries, de la peur et puis un peu de souffrance. C’est allé très vite. C’est arrivé bien trop tôt. Il n’a comme qui dirait rien vu venir. On appelle ça le destin. Vous y croyez vous à tout ce baratin ? UC
Dernière édition par Andréa A. Harper le Dim 6 Sep - 14:11, édité 2 fois | |
| | | Yorick Williams ORDINARY MESS ♠ just scattered pieces of who I am
Messages : 223 Age : 34 Pseudo : CORPSE HEART Song : TY ~ Fall Into You Citation : The night is darkest just before the dawn.
YOUR ROAD RACE: Demon CAMP: life. RELATIONS:
| Sujet: Re: Andréa A. Harper - Et la souffrance exaltera les sens. Sam 5 Sep - 19:41 | |
| Bienvenue | |
| | | Lisha Kasey LOLADMIN • The opposite sides on which we fall. The loving you laters if at all.
Messages : 313 Age : 34 Pseudo : Lolote Song : Sia ● Breathe Me Citation : There's always some hope. Always
YOUR ROAD RACE: Demon CAMP: Good RELATIONS:
| Sujet: Re: Andréa A. Harper - Et la souffrance exaltera les sens. Dim 6 Sep - 1:17 | |
| | |
| | | Andréa A. Harper
Messages : 3 Song : Silent Hill Soundtrack Promise.
YOUR ROAD RACE: Demon CAMP: REVENGE. RELATIONS:
| | | | Lisha Kasey LOLADMIN • The opposite sides on which we fall. The loving you laters if at all.
Messages : 313 Age : 34 Pseudo : Lolote Song : Sia ● Breathe Me Citation : There's always some hope. Always
YOUR ROAD RACE: Demon CAMP: Good RELATIONS:
| Sujet: Re: Andréa A. Harper - Et la souffrance exaltera les sens. Lun 7 Sep - 1:50 | |
| Ah ça fait plaisir de voir des gens motivés comme ça On se trouvera un petit lien hein ? | |
| | | Jehiel Kasey LILADMIN • Losing what was found, a world so hollow. Suspended in a compromise
Messages : 362 Age : 32 Pseudo : Liily Song : SHATTERED • Trading Yesterday
YOUR ROAD RACE: Angel CAMP: REBELS RELATIONS:
| Sujet: Re: Andréa A. Harper - Et la souffrance exaltera les sens. Mer 9 Sep - 11:21 | |
| La musique :miii: Et qui est ce monsieur ? Jamais été présentés Enfin, bienvenue, et ça fait plaisir de voir une fiche déjà si avancée | |
| | | Contenu sponsorisé
| Sujet: Re: Andréa A. Harper - Et la souffrance exaltera les sens. | |
| |
| | | | Andréa A. Harper - Et la souffrance exaltera les sens. | |
|
| Permission de ce forum: | Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
| |
| |
| |